Près de 1 français sur 2 admet avoir une culture financière insuffisante, selon une étude OpinionWay pour ATLAND Voisin et Fundimmo
Les français sont « plus fourmis que cigales »
Invitée de Stéphane Dépinoi sur France Info, Déborah LABRE, Directrice marketing chez Fundimmo revient sur l’étude OpinionWay réalisée conjointement avec ATLAND Voisin, en s’exprimant sur le niveau de culture financière des français.
L’étude réalisée sur un échantillon de plus de 2000 français nous confirme que les français ont tendance à épargner, attachés à se constituer un « filet de sécurité » immédiatement disponible pour faire face à des dépenses imprévues.
En effet, les français ont en moyenne mis 21,3% de leur revenu brut disponible en 2020 (source : Insee) face aux incertitudes générées par la crise sanitaire, thésaurisant leurs économies sur des comptes courants et Livrets A, peu voire pas rémunérateurs.
Un déficit de culture admis
L’étude a révélé qu’une méconnaissance généralisée des produits financiers et instruments de placements existants restreint largement leur capacité à faire fructifier leur argent en contradiction avec l’une de leurs principales motivations qui est de s’assurer un avenir meilleur.
Cette méconnaissance ne concerne pas que les produits. L’étude révèle que 46% des français ne savent pas qui solliciter pour demander de l’aide au sujet de leurs placements.
« Le nerf de la guerre c’est la connaissance »
Conscients de cela, 73% des français estiment que la culture financière devrait faire l’objet d’un enseignement dédié à l’école et 64% reconnaissent que bénéficier d’une telle formation plus jeune leur aurait été bénéfique.
« Cette connaissance passe par cette éducation massive que nous devons faire auprès des français » souligne Déborah LABRE.
L’idée est de savoir diversifier son patrimoine à travers les différents produits existants, pour passer d’une culture d’épargne dormante à une culture de construction de patrimoine. Tout en rappelant un conseil aussi important que simple à suivre : passer par des acteurs contrôlés par l’Autorité des Marchés Financiers.
Retrouvez l’intégralité de l’interview ici
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