La préservation du vivant n’est plus un sujet périphérique : elle contribue pleinement à la résilience même de nos villes et, in fine, la valeur durable de votre patrimoine. Si nous devions prendre un seul indicateur de l’urgence à agir, ce serait celui-ci : la France abrite déjà le 6ème plus grand nombre d’espèces menacées au monde – un signal clair pour agir dans cette direction, en s’inscrivant dans le cadre de la Stratégie nationale biodiversité 2030 et l’objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Découvrez comment nos SCPI labellisées ISR intègrent la biodiversité dans leurs actifs !
Biodiversité et immobilier : un levier essentiel pour des SCPI durables et résilientes
Réintroduire le vivant, c’est :
- Atténuer les risques climatiques – des sols perméables et végétalisés améliorent la capacité d’adaptation face aux épisodes de canicule et ou d’inondation ;
- Améliorer le confort des utilisateurs – l’ombrage et l’évapotranspiration abaissent la température ressentie ;
- Renforcer l’attractivité locative – les entreprises recherchent des sites capables de conjuguer performance environnementale et qualité de vie.
Une même méthode : prioriser en fonction du potentiel et mesurer l’impact de nos actions pour progresser
Depuis 2022, nous avons appliqué à plus de 130 actifs une grille d’analyse croisant observation du vivant, données naturalistes, réglementation et facteurs de risque. Deux niveaux d’étude structurent notre action :
- 16 sites prioritaires font l’objet d’audits de terrain menés par des écologues ;
- Les autres actifs, ceux ayant un espace de pleine terre et une note ESG inférieurs à la note ESG, font l’objet d’une évaluation à distance pour hiérarchiser rapidement le potentiel d’action.

Cette approche débouche sur des fiches techniques et des plans d’action précisant, pour chaque actif, les aménagements à réaliser (nichoirs, hôtels à insectes, haies nourricières, gestion adaptée des espaces verts, etc.) et les indicateurs de suivi associés.
Par ailleurs, en plus de ces actions ciblées, à fin 2024, près de 24% du patrimoine d’Épargne Pierre (en valeur vénale) intégrait au moins un équipement favorable à la biodiversité, contre 15% en 2021 (date d’obtention du label ISR). Et 60% des actifs avaient fait l’objet d’une mesure de leur coefficient de biotope de surface à la même date.
Mobilisation des acteurs : gestionnaires, locataires et partenaires au service de l’ESG
Rien de tout cela ne serait possible sans la mobilisation de nos gestionnaires techniques, de nos locataires et des acteurs locaux : ainsi les clauses ESG sont intégrées dans 100% des mandats, des guides d’éco-gestes sont systématiquement distribués aux locataires, et des « Comités Verts » semestriels sont constitués pour suivre la bonne exécution des plans d’action.
L’année à venir verra :
- le déploiement pilote d’un outil dédié à la biodiversité, sur une dizaine d’actifs, pour fiabiliser nos indicateurs d’impact ;
- 8 nouvelles études écologiques afin de porter à 50 % la part du patrimoine diagnostiquée en profondeur d’ici 2026 ;
- le déploiement sur les actifs d’aménagements, d’équipements ou d’une gestion adaptée des espaces verts pour redynamiser la biodiversité.
En conjuguant expertise scientifique, priorisation et mesure, et gouvernance partenariale, nous ancrons la biodiversité au cœur de notre feuille de route ESG. Votre confiance nous permet d’entreprendre cette transformation de long terme ; nous la poursuivrons avec la même exigence qui guide l’ensemble de nos actions.
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