Alors qu’une personne sur deux de 18 à 34 ans estime ne pas disposer d’une culture financière suffisante pour bien investir, l’investissement en SCPI peut répondre aux attentes des actifs qui démarrent leur carrière. Découvrez toutes nos explications dans cette article. Bonne lecture !
25 ans et investisseur dans l’immobilier, oui c’est possible !
22%. C’est la part des français de 25 à 34 ans qui estiment ne pas avoir des moyens suffisants pour placer leur épargne dans les SCPI, selon une étude d’octobre 2021 réalisée par OpinionWay pour ATLAND Voisin et Fundimmo. Pourtant, ce type d’investissement est aussi possible pour ces jeunes actifs. Avant de se lancer, il convient de s’informer. Demander conseils autour de soi est probablement une bonne piste car de nombreux français détiennent des parts de SCPI et peuvent partager leur expérience.
Jeune et actif : les raisons d’investir
Pour les jeunes actifs qui souhaitent commencer à préparer l’avenir, l’investissement en SCPI présente plusieurs intérêts. Tout d’abord, il permet d’investir avec un apport limité : dès 2 080 € pour notre SCPI Epargne Pierre par exemple. De plus, il affiche un rendement intéressant : il était de 4,49%* en moyenne en 2021 (les performances passées ne préjugent pas des performances futures). Autre intérêt, son contenu est compréhensible : il s’agit d’immeubles loués à des entreprises (bureaux, commerces, etc.). Enfin, la facilité : il est possible de souscrire en ligne et le suivi de l’investissement ne demande aucun travail de gestion locative (en contrepartie d’une commission de gestion sur les loyers).
« À 25 ans, il peut sembler compliqué de se lancer dans un projet d’investissement immobilier. Il s’agit d’une période durant laquelle les futurs projets personnels ne sont pas encore déterminés : mobilité professionnelle, déménagement à l’étranger, achat d’une résidence principale seul ou en couple… Dans ce contexte, l’investissement en SCPI s’avère facile et rassurant pour les jeunes actifs. » Diego CREIXAMS, Directeur de la Gestion Privée chez ATLAND Voisin.
*ASPIM
Combien et comment investir ?
Épargne Pierre constitue un bon exemple de solution accessible dans le cadre d’un premier investissement. Il est possible d’y souscrire à partir de 2080 €. Et l’investisseur pourra faire le choix d’acheter ensuite des parts supplémentaires à 208 € par part, de façon programmée ou non. Rappelons qu’il est recommandé de conserver ses parts 10 ans au moins, et que la liquidité (la revente) des parts n’est pas garantie. Il est donc important de considérer cet investissement comme une opération à long terme ! La spéculation n’a pas sa place ici.
« L’investissement moyen des jeunes actifs en SCPI est évidemment moins élevé que pour nos autres catégories d’associés. C’est tout à fait normal puisqu’ils disposent de revenus inférieurs. Mais cela constitue une première étape vers la constitution d’un patrimoine à long terme. Et la souscription est largement facilitée aujourd’hui avec le numérique, ce qui leur permet de souscrire régulièrement et progressivement, en fonction de l’évolution de leur situation et de leurs objectifs. » Diego CREIXAMS, Directeur de la Gestion Privée chez ATLAND Voisin.
Aller chercher les bons conseils
Pour bien préparer leur projet, les néo-investisseurs en SCPI peuvent compter sur l’accompagnement de professionnels (comme ceux de notre équipe) mais aussi sur les conseils de leurs proches. Il est en effet fréquent que des jeunes actifs se tournent vers cette forme d’investissement suite à l’expérience concluante de leurs parents. Un phénomène notamment encouragé par le mécanisme simplifié de transmission de parts de SCPI. Ainsi, certains jeunes ayant hérité de parts via leurs parents décident parfois de faire grandir leur patrimoine en souscrivant par leurs propres moyens.
« J’ai découvert la SCPI via mes parents et grands-parents qui avaient investi dans ce type d’épargne. Ma première part, je l’ai achetée en 2005, à l’âge de 21 ans, grâce à mon premier salaire. À l’époque, mes amis avaient du mal à comprendre ce choix. Aujourd’hui, avec du recul, je ne le regrette pas du tout car ce premier investissement rassurant m’a permis ensuite de diversifier mon patrimoine. De plus, ce type de placements a démontré sa stabilité et sa sécurité, même lors de ces dernières années plutôt houleuses. » témoigne Vivien C, 38 ans, client ATLAND Voisin depuis ses 21 ans.
Peut-être connaissez-vous quelqu’un qui entre dans la vie active et qui s’interroge sur ses placements. Notre conseil : partagez votre expérience avec cette personne, ça lui sera probablement très bénéfique !
Rappel des avertissements : les performances passées ne sauraient préjuger des performances futures. L’investissement en SCPI comporte un risque de perte en capital, le capital investi n’étant pas garanti. Les éventuels dividendes peuvent varier à la hausse ou à la baisse. La SCPI ne garantit pas la revente des parts. Communication publicitaire.